Compte-Rendu de l’AG du 22/01/15

Compte-Rendu de l’AG du 22 janvier 2015

Suite à un petit bug sur l’horaire et le lieu de la réunion,encore toutes nos excuses, les participants étaient peu nombreux. Nous étions donc gâtés quant à la quantité de galette !

Nous avons fait un petit bilan des initiatives du 1er trimestre (mobilisations écoles, AG de ville, occupation du terrain par Bonnets d’Âne, grande manifestation du 20 novembre à ST-Denis, petites victoires sur les écoles Vallès et Carson Besson en matière de remplacement). Malheureusement force est de constater que les annonces de la ministre ne répondent toujours pas au besoin des établissements scolaires et rien n’est donc régler ni sur le court ni sur le long terme. Il va falloir réfléchir aux moyens de construire une mobilisation qui permettent de gagner sur nos revendications (nombre de postes, remplacement, formation enseignante…).

 

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Une école préfabriquée à Confluence nord

Le quartier de la Gare n’aura pas son école, en tout cas pas tout de suite.


Jeudi soir 18 décembre, David Proult, maire-adjoint chargé de l’enseignement, avait invité à l’école maternelle Brise-Échalas (quartier de la gare) quelques parents élus dans cette école et les autres écoles du quartier (maternelle de l’Estrée et l’élémentaire Vallès). Afin de les tenir informés de l’avancée du projet d’un nouveau groupe scolaire, tant attendu sur le quartier.

Comme beaucoup d’autres quartiers de Saint-Denis, celui de la gare connaît une croissance démographique importante. Une partie de l’habitat existant (y compris lorsqu’il est insalubre) connaît, du fait de la crise du logement, un degré d’occupation important (voire de suroccupation dans certains cas). A tel point, que les trois écoles du quartier sont actuellement pleine comme un œuf. Notamment à Vallès qui accueile dix-huit classes, dont la dernière rentrée au chausse-pied dans la bibliothèque.

La livraison au printemps de 200 logement neufs le long de la Seine (ensemble Brémont ou Confluence nord) ne peut que charger un peu plus la barque. Face à l’urgence, la ville n’avait guère d’autre solution que de prévoir un groupe scolaire supplémentaire. Permettant d’absorber le flux des enfants nouvellement arrivés dans la ville (estimation faite à 150), et parallèlement de désengorger les écoles Vallès et l’Estrée, et dans une moindre mesure, Brise-Échalas.

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